Les contrats IFC ou comment transformer une contrainte en opportunité

IFC Une solution dédiée au financement des indemnités fin de carrière

Toute entreprise est tenue de verser au salarié qui part à la retraite une indemnité minimum appelée « indemnité fin de carrière ».

Cette somme peut représenter une sortie de trésorerie importante pour l’entreprise, en particulier en cas de départs de masse avec une ancienneté importante. Ci-contre quelques exemples de montants d’IFC pour la CCN des transports routiers.
(Le montant des IFC est généralement prévu dans la convention collective à laquelle est rattachée l’entreprise.)
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Lorsque le salarié aura 37 ans d’ancienneté, il bénéficiera d’une indemnité équivalente à 2 mois de salaire, prévue par la Convention Collective dont il dépend.
En complément, le contrat peut également prévoir la prise en charge d’éventuelles indemnités de licenciement ou de rupture conventionnelle.
Le contrat est alors soumis à la taxe d’assurance de 9 %.
Âge : 57 ans
    Ancienneté acquise : 34 ans
    Départ volontaire : 60 ans
    Ancienneté au terme : 37 ans
    Rémunération : 36 000 € par an,
    donc 3 000 € par mois,
    Indemnité Fin de Carrière : 2 mois de salaire

Comment ça marche ?

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Une offre avantageuse

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Comment se gère les fonds placés sur ces contrats ?

L’objectif de l’entreprise est de faire fructifier les fonds « immobilisés » sur le contrat IFC afin de prendre ainsi en charge une partie plus importante du passif social que celle correspondant aux seuls versements. Selon le besoin de disponibilité à court, moyen ou long terme (par rapport aux premiers départs prévus) et l’appétence du chef d’entreprise vis-à-vis de  la prise de risque, les fonds pourront être gérés conformément soit à différents profils préétablis (de prudent à dynamique en passant par équilibré) soit en gestion libre.
On retrouve ici la gestion proposée sur de nombreux contrats d’épargne individuels ou collectifs tels que l’assurance-vie ou les PEE.
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